Deux débats à l'ordre du jour, l'un sur l'éthique et la citoyenneté numérique et l'autre sur la Low Tech et la Sobriété numérique en éducation
Ce temps fort s’inscrit dans une série de 3 événements, avec ceux du 8 avril et du 20 mai
Gratuit sur inscription
2 heures
Le premier débat traite de l’éthique, de citoyenneté numérique, de rapport à l’autre, de relations et de communication, de développement et de bien-être dans un cadre professionnel. Le numérique bouleverse les organisations et les relations hiérarchiques, les cadres de confiance et de protection, les manières de faire.
Le deuxième débat concerne les Low-Tech et la sobriété numérique, deux concepts qui abordent l’impact environnemental des infrastructures, des matériels et ressources numériques produits et utilisés dans un cadre professionnel ainsi que les comportements des utilisateurs.
On peut traduire Low tech par technologie sobre et résiliante mais comment concilier ce concept avec développement économique, innovation technologique et déploiement massif dans les établissements scolaires ou dans les formations hybrides en pleine expansion ?
A l’aune des plans d’équipement dans l’éducation ou devant les déploiements massifs de technologies numériques dans les universités avec l’objectif légitime de lutter contre les inégalités d’équipements et d’accès, comment développer un numérique responsable compatible avec l’évolution des législations qui s’orientent vers une meilleure prise en compte du besoin et vers des logiques de reconditionnement et de recyclage ?
La sobriété numérique renvoie vers la prise en compte de l’impact environnemental des technologies numériques mais aborde aussi la question de la modération des usages et du suréquipement.
Pour l’Education et la formation, il est nécessaire de poser la question des comportements en situation d’apprentissage, particulièrement quand l’apprentissage à distance se développe et que l’attention, la motivation, la concentration et l’autonomie de de l’apprenant sont recherchées.